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INTRODUCTION
Jusqu au présent le passé des Kurdes n’êtait étudié que rarement en rapport d'histoire des autres nations asiatiques. Il y en a de causes. Sur la base des circonstances multiples les Kurdes ne réussirent pas d'établir leur état propre. Encore au moyen âge ils furent partagés entre l'empire ottoman en Iran ; la petite partie d'eux, s'intégra au premier quartier de 19e siecle dans la structure de Russie. Après la guerre 1914-1918 la partie du territoire peuplé par les Kurdes s'intégra, dans la structure d'iraque et Syrie. En effet, tout cela compliquait et complique des recherches de leur histoire.
Motamment l'histoire récente du Kurdistan et du peuple kurde est expliqué insuffisantement. Des autres bourgeois, ayant publiqué beaucoup de tomes sur ”l'anabase dix mille grecs" a travers de Kurdistan ou sur des anabases de l'époque d'Alexandre Macédonien, consacraient peu d'attention, à la lutte, audacieuse et héroïque des Kurdes au 19-20e siecle contre l'oppression.
Le comportement des représentants de l'historiographie bourgoise /avant tout celle occidentale/ envers de recherche du passé de la nation, kurde énonça G. Curzon. Cet exécuteur connu de le politique d'occupation de l'impérialisme britannique /on sait qu'il s'installa en poste de vice-roi de lundis et de ministre de l'Angleterre/ prétendit aussi au rôle, de son idéologue. Voyageynt beaucoup en Orient il publia les circonscriptions de ses voyages dans lesquelles il propageait des opinions racistes, colonialistes pas du tout pareilles a eelles de la vraie science.
L'histoire des Kurdes est obscure, déclarait avec enthousiasme Curzon. "C'est un peuple sans littérature et presque sans histoire. La situation des Kurdes parmi des "société" ennemies et etrangers les amène vers l'anarchie et le trouble. Les Kurdes, se deviendraient-ils une société organisée s’ils étaient conduits par la main forte mais juste."1/
Sous "la mian forte sais juste" il comprit des colonisateur britaniques.2/
Des expressions suivantes de Curzon en ce qui concerne des Kurdes ne sont pas moins caractéristiques. Il les appela "le peuple extraordinairement incultivé et extraordinairement stupide, ne connaissant pas l’intruction, des écoles, des livres ; le peuple ou parmi dix mille hommes à pein un suel sait lire".3/ Curaon essaya faire voir que les tribus kurdes "se distiaguent de la plus grande désordonancë et tromperie"4/
Cependent, lord savant silencieusement passa sur les plus lourdes conditions de la vie du peuple kurde, celle-mèmes que furent des résultats de la politique des milieux gowernementause britanniques faisants partie avec immense "activité dans la soustraction des richesses nationalise d'Iran et d'Empire ottoman.
Au contraire, le peuple kurde, en différence de cette qualitée qui lui imputaient des pseudoehereheurs nombreux bourgois, s'efforça conduire sa vie tranquillement et pas du tout celle de brigands.
En tout cas Curzon cnnu les cinconscriptions de la nature et des moeurs des Kurdes faites par son compatriote Henry Trotter en tant que consul britannique au Kurdistan au début de 80es années de 19e siecle. Dans son rapport, intitulé " Des Kurdes de l’Asie Mineure" Trotter annonça, que 17 leaders, kurdes en tête de 40 mille Kurdes de la population aux environs Van et des milieux voisins demandaient le comaisesire de sultan charge de la réalisation des réformes administratives au Van pour ouvrire des écoles au Kurdistan les leaders au nom de tous les Kurdes locaux proposaient de payer eux-mêmes tout entretiene de ces écoles.
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