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Chèref-Nâmeh II, 2e p.


Auteur :
Éditeur : Académie Impériale Date & Lieu : 1875, St. Pétersbourg
Préface : Pages : 712
Traduction : ISBN :
Langue : FrançaisFormat : 161x231 mm
Code FIKP : Lp.Gen.24.II-IIThème : Histoire

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Chèref-Nâmeh II, 2e p.

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Chèref-Nâmeh ou Fastes de la Nation Kourde
Tome II, 2ème partie

Traduits du Persan et commentés par :
François Bernard Charmoy, Conseiller d'État en retraite, Correspondant de l'Académie Impériale des sciences de Russie et de l'Académie de Stanislas de Nancy, ci-devant Professeur ordinaire de langue et de littérature persanes à l'Université Impériale de St.-Pétersbourg, chargé de l'enseignement du Persan et du Turk à l'Institut oriental du ministère des affaires étrangères, Bibliothécaire honoraire à la Bibliothèque Impériale publique, Membre des Sociétés asiatiques de Paris et de Londres, de la Société Royale des Antiquaires de Copenhague, et de celle des naturalistes de Moscou, Chevalier des ordres russes de Saint-Vladimir de la troisième classe et de Sainte-Anne de la seconde, avec les insignes en diamants.


CHÈREF-NÂMEH

OU FASTES DE LA NATION KOURDE,
PAR CHÈREF-U'DDÎN, PRINCE DE BIDLÎS

Notes du Tome second de la version française du
Chèref-nâmeh, depuis la page 162 du texte persan.

Sur la ville de Tchimichegnézek, que les Arméniens nomment Tchemeschgadzak vulgairement Tchèmeschgaïzag on Tehèneschgedzek, et les Syriens, Schomnouschky, consultez St. Martin, Mém. sur l'Arménie. Tome Ier p. 95, 165; T. II, p. 431, et le Cosmorama ou Djéhân-numa, p. 439. Les Arméniens prétendent que cette ville se nommait encore Hierapolis, c'est-à-dire la Ville Sainte, et qu'elle n'a reçu son nom actuel que depuis le règne de l'empereur d'Orient Jean Tzineiscès, qui y était né et qui régna depuis 969 jusqu'à 976 de J. (Tablettes chronologiques de Jean Picot T. II, p. 185. 186, 484).

Sur l'émir Sèliq' voy. le même Cosmorama, p. 428, que j'ai traduite dans mon Introd. et ithnogr. et géographique, et note 410 de la même Introduction.

Cet émir n'appartenait de fait à aucune des branches de la dynastie des Seldjouq'ides? car il n'y en a aucune qui ait régné spécialement à Garin ou Erzèn-è'r Roûm. (...).

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Fin de la traduction française du Chèref-nâmeh, annotée, revue, corrigée et terminée par F. B. Charmoy à Aouste (Augusta), arrondissement de Die (Dea), département de la Drôme (Druna), affluent du Rhône (Rhodanus) en France, le 19 avril 1864 de J. C., répondant au 23 du mois de dzy'l-q' a'deh (1er mai)
de l'année 1280 de l'hégire.

________________ 
 

P. S. Depuis que j'ai terminé ce travail, j'ai encore pris à tâche de parcourir avec la plus grande attention les divers dictionnaires et vocabulaires que je possède dans ma modeste bibliothèque, dans l'espoir de parvenir enfin à définir d'une manière plus précise le sens de l'expression persan جار djâr, que j'ai plusieurs fois rencontrée dans l'Histoire des Kourdes de Chèref-u'ddîn Bidlîcy jointe au substantif لثكر armée.




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